Billag : cessez votre harcèlement, mettez à jour vos données et répondez aux plaintes

Madame, Monsieur,

Je constate que vous ne respectez pas votre clientèle étant donné que de guerre lasse, j'ai déjà dû déposer une plainte à votre égard sur ce site en date du 23 mai 2016 pour le numéro de client 313 248 275, que vous n'avez pas répondu mais que vous m'écrivez à nouveau pour une soi-disant campagne qui est du même type harcelant que tous vos autres courriers avec des termes tout-à-fait fallacieux.

Mes reproches du contenu de votre lettre :

1. Vous écrivez "le formulaire que nous avons mis en ligne à votre attention n'a toujours pas été rempli". Vous faites tellement référence à vos juristes que je suis sûre qu'ils savent que le harcèlement est interdit et que je ne suis pas obligée de remplir votre formulaire contrairement à ce que vous laissez entendre.

2. De guerre lasse, je suis quand même allée sur votre site et je n'ai pas pu dépasser la première page parce que, sous mail, vous avez écrit "cette case ne doit pas être vide" et je suis sûre que je ne suis pas obligée de vour fournir mon adresse mail. Je suis déjà assez harcelée par vous par poste et je n'ai aucune envie de l'être par courriel. J'espère que votre personnel germanophone appréciera quand même l'adresse inventée pour que votre formulaire me laisser passer à la suite, [email protected] s'il a quand même enregistré les deux premières pages.

3. J'ai écrit que mon adresse était la résidence principale.

3. A la page suivante, je dois indiquer les dates de mises en service pour la radio et la télévision et les Romands apprécieront votre logique suisse-allemande qui indique à côté de mise en service "au maximum 6 mois en avance".

4. Pour la radio, j'ai indiqué la date approximative à laquelle je suis entrée dans le logement, donc novembre 2010 car je ne me rappelle plus si c'était septembre ou octobre 2010 mais je me rappelle fort bien vous l'avoir communiqué en son temps très exactement.

5. Pour la télévision, comme je vous l'ai indiqué A DE MULTIPLES REPRISES, organe ignare et obtus et malheureusement indigne de la feue qualité suisse, JE N'AI PAS LA TELEVISION même si vous n'arrivez pas à comprendre cette phrase, je ne l'ai pas et je ne vais pas l'inventer. Par contre, au fil du temps, j'ai cédé à la modernité et j'ai commencé à regarder certaines émissions et films sur la Rts.ch. Je vous ai écrit pour vous en informer et depuis, mon ménage, ma femme et moi payons votre redevance radio ET télévision.

6. Ceci étant RAPPELE POUR LA ENIEME FOIS, je ne me rappelle pas de la date à laquelle nous avons commencé à faire ça, vous n'avez qu'à ouvrir notre dossier au lieu de nous harceler et regardez la première fois que vous nous avez taxé au plein tarif. Et donc, je n'ai pas pu répondre à votre question et j'ai arrêté votre soi-disante campagne pernicieuse.

7. J'ai arrêté votre questionnaire parce que je n'ai pas la possibilité de mettre "environ" à côté d'une date et que vous considéreriez certainement mes propos comme parole d'évangile alors que les vôtres sont de l'ivraie au vu des lettres harcelantes et obtuses que vous m'envoyez.

7. Je suis saturée par vos agissements. Je suis scandalisée par le fait que M. prix ou les décideurs suisses vous laissent dysfonctionner en sachant que nous sommes nombreux à avoir des problèmes injustes avec vos dysfonctionnements. Je suis indignée de votre monopole obtus qui m'oblige à rester dans votre organe et à être harcelée parce que vous êtes incapable d'être compétents à ouvrir vos dossiers et à actualiser vos données. Par principe, je trouve normal que des redevances soient prélevées mais dès que je pourrai enfin voter contre la suppression de votre organe, je voterai pour et ferai campagne à cause de vos dysfonctionnements. Je trouve mon raisonnement dommage mais vous m'y poussez aussi car j'espère que le système suivant sera plus intelligent.

8. A lire votre courrier, vous êtes d'autant plus incompétents et source d'indignation que vous continuez d'avoir deux numéros de clients nous concernant alors que je suis mariée depuis 2007, que je vous l'ai communiqué très rapidement après cette date, que mon épouse a résilié le bail qu'elle avait à l'avenue de luzerna depuis 2009 ou début 2010, que nous vous en avons fait part et que nous sommes dans le logement actuel depuis l'automne 2010 et que je vous l'ai déjà communiqué et rappelé.

Sur le courriel daté du 25 mai et reçu ce 2 juin, il y a donc le numéro de client 502 071 172 qui fait doublon avec le 313 248 275.

Je vous prie de faire le nécessaire. Merci d'avance

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